Pas toujours bon d'arrêter la clope ?!
Vous me direz, "et ?", fort bien ma foi, mais ça risque de rendre la suite du voyage légèrement différente, tout au moins pour les quelques semaines à venir. D'après l'aspect de la molaire en question, les réparations risquent de se faire en plusieurs temps.
Quelques questions mécaniques également, vont m'amener à aller voir un spécialiste. Un retour en France paraît amplement envisagé, sûrement vers d'autres montagnes pour éviter un quelconque choc d’acclimatation. Peut-être vers d'autres chèvres ou d'autres étables, qui sait ?